Un soulagement. C’est l’impression générale après la signature de l’accord entre Renault et Nissan. De part et d’autre, on souffle. Après plus de vingt ans de tensions et de ruptures, les relations entre les trois constructeurs n’ont jamais été aussi bonnes. Plusieurs projets ont pu être annoncés à l’issue des concertations. Parmi eux, deux marchés séduisent particulièrement l’alliance : l’Amérique latine et l’Inde. Des zones géographiques qui intéressent aussi d’autres constructeurs, par exemple Stellantis, qui veut faire de l’Inde « un pilier central de [son] ambition internationale ». Mais pourquoi ces régions attirent tant les groupes Renault et Nissan ?