Ifrikya – Jalloul Ayed, candidat officiel de la Tunisie à la présidence de la BAD (Banque Africaine de Développement), a tenu ce jeudi 30 avril 2015, au club Citroën des Berges du lac, une conférence de presse organisée par un dynamique groupe de soutien initié et mené par Bassem et Walid Loukil (du groupe Loukil) afin de dévoiler son programme pour la BAD, et ce, dans la perspective de l’élection du nouveau président de cette institution le 28 mai prochain. À noter que 7 autres candidats, tout aussi de grandes compétences, sont également en lice pour le poste et que Jalloul Ayed est le seul Maghrébin à y postuler.
La compétition sera rude, mais gagnable à la vue des compétences, de l’expérience et de la lucidité de sa vision pour le futur positionnement de l’Afrique par rapport au reste du monde, et ce, quant à l’exploitation efficiente des richesses et des marges évolutives de croissance de ce formidable continent.
Un continent qui est actuellement scruté à la loupe par les grandes puissances mondiales. Certaines de ces puissances dont les pays du Moyen-Orient pourraient être enclins à collaborer d’une manière efficiente avec la BAD sous la présidence du candidat tunisien.
Dans l’espoir d’un appui maghrébin sans failles, une mobilisation des régionaux africains et des non-régionaux s’amplifie autour de la candidature de Jalloul Ayed…
En effet, la confiance placée en lui par la Présidence de la République et par l’ensemble des membres du gouvernement qui n’hésitent pas actuellement à mettre en avant ses compétences, dans leurs déplacements à l’étranger, la société civile et la communauté d’affaires en Tunisie ont également fait largement échos de cette candidature de la Tunisie pour la présidence de la Banque Africaine de Développement (BAD), en s’organisant en groupes de soutien et comités de campagnes.
C’est dans le cadre de cette mobilisation que le site web, www.afdb-jaloulayed2015.org, s’est enrichi et qu’une page Facebook, animée bénévolement par une équipe dédiée, a réussi à attirer plus de 13 000 fans. Les Tunisiennes et les Tunisiens gagneraient à prendre conscience de l’importance stratégique de la BAD, et le grand enjeu pour la Tunisie d’en prendre la présidence.
Établie en 1964, la Banque Africaine de développement, qui jouit d’un Rating AAA et d’un capital autorisé de 100 milliards de Dollars, est la plus grande institution de développement en Afrique et l’une des plus importantes au monde.
Depuis sa création, la Banque a financé plus de 4000 projets de développement pour un montant global de 95 Milliards de Dollars. Le capital de la Banque est détenu par 78 pays (60% est détenu par
53 pays africains, et 40% est détenu par 25 autres pays non africains).
Pour être élu président, le candidat doit obtenir 51% de votes des pays africains, et 51% de votes de l’ensemble des actionnaires.
Jaloul Ayed a entrepris plusieurs voyages et missions pour porter sa vision et ses convictions aux pays membres de la Banque Africaine de développement.
Il fait part lors de la conférence de presse du 30 avril 2015 de sa stratégie et des moyens qu’il mettra en œuvre pour gagner les prochaines élections qui se tiendront à partir du 28 mai 2015 à Abidjan.
Jaloul Ayed : un Parcours éloquent qui en dit long sur ses compétences et sa parfaite connaissance des rouages de la Banque et des besoins de l’Afrique
- Ayed qui a été décoré de l’Ordre de la République tunisienne en novembre 2011, s’est vu décerné la « Distinguished Alumni Award for Leadership and Ingenuity », en mai 2014, par Citibank New York, représenté par son Président.
- En décembre 2013, il a été nommé Président de MED Confédération, poste qu’il occupe à ce jour. Cette organisation a été lancée pour promouvoir le rapprochement institutionnel entre les deux rives de la Méditerranée. Il est, par ailleurs, co-fondateur et Vice Président d’Euromed Capial Forum, l’association euroméditerranéenne des opérateurs en capital risque.
Biographie (décembre 2014) :
Conférencier, entrepreneur membre actif de la société civile
Au terme de son mandat au Ministère des Finances en décembre 2011, M. Ayed est régulièrement invité à animer des conférences dans les milieux académiques et la société civile en Tunisie, ainsi qu’au sein de prestigieuses organisations telles que Harvard Business School et HEC Paris. M. Ayed aborde généralement des thèmes relatifs au développement économique et social, à la responsabilisation sociétale, à la gestion du changement, à l’intégration régionale, à la restructuration du système financier, à la micro-finance, à la promotion de l’entrepreneuriat chez les jeunes, au rôle de la culture dans le développement, et à l’éthique économique et sociale.
En 2013 Jaloul Ayed a collaboré avec de grandes institutions universitaires et professionnelles pour le développement d’un programme de leadership pour les hauts fonctionnaires de l’état ainsi que de hauts cadres dans les secteurs privés et publics ainsi que dans la société civile. En 2014 il a travaillé avec de grandes institutions académiques tunisiennes et étrangères pour la mise en place de la Mediterranean Entrepreneurship
Development and Innovation Organization (MEDI), une organisation sans but lucratif, dédié à (i) offrir aux jeunes tunisiens des opportunités pour se lancer dans le commerce électronique, à (ii) combattre la pauvreté et l’exclusion, particulièrement dans es régions de l’intérieur, en permettant aux petits producteurs et artisans dans ces régions à accéder à de nouveaux marchés à l’échelle mondiale, à (iii) préserver le patrimoine je éducationnelle, technologique, financière et logistique permettant à des milliers d’artisans et de producteurs tunisiens d’offrir au monde des produits typiquement tunisiens de haute qualité.
En juin 2014, la présidence de la République tunisienne a chargé M. Ayed de présider une commission chargée de formuler une nouvelle vision pour la stratégie africaine de la Tunisie.
Composée de représentants de la communauté d’affaires, d’institutions financières et de hauts cadres de l’administration, cette commission a élaboré une série de recommandations dans le but de renforcer significativement les relations financières, commerciales, et culturelles entre la Tunisie et les pays de l’Afrique sub-saharienne. Persuadée que l’avenir de l’Afrique dépend en grande partie de sa capacité de promouvoir les relations inter-africaines en matière d’investissements et d’échanges commerciaux, la commission a fortement mis l’accent sur le rôle que doit jouer la Tunisie pour promouvoir l’intégration africaine.
Par ailleurs, convaincu de la nécessité d’encourager les jeunes à s’adonner davantage à l’innovation, à la recherche et au développement, M. Ayed a créé un groupe technologique permettant à une cinquantaine de jeunes tunisiens de poursuivre en son sein une carrière dans des domaines technologiques à haute valeur ajoutée.
Ayed continue à servir, en outre, en qualité d’administrateur au Conseil d’Administration de la CDC; et en tant que membre indépendant dans le Comité Conjoint établi par la Banque Centrale de Tunisie et le Ministère des Finances en charge de la supervision du projet de restructuration des banques publiques.
Ministre des Finances de La République tunisienne (2011)
En janvier 2011, M. Ayed a été rappelé en Tunisie pour occuper le poste de ministre des Finances au sein des deux gouvernements de transition qui ont suivi la révolution tunisienne. Durant son passage au ministère, M. Ayed a supervisé la préparation du Programme économique et social (le « Plan Jasmin ») que la Tunisie a présenté au G8 dans le cadre du partenariat de Deauville. Il a aussi servi en qualité de Sherpa dans les réunions du G8.
Convaincu que l’investissement public, mais surtout privé, représente l’épine dorsale du développement socio-économique inclusif et durable, et la solution prioritaire à la problématique du chômage, M. Ayed a initié une refonte complète des cadres réglementaires régissant la micro-finance et le capital investissement.
Il a aussi créé la Caisse de Dépôt et de Consignation tunisienne (« CDC ») dont l’objectif est de promouvoir la création de fonds d’investissement qui accompagnent le développement des PME/PMI, ainsi que le financement en capital des grands projets d’infrastructure et des grands financements structurés en PPP.
Par ailleurs, et dans le but d’encourager à grande échelle l’investissement privé, M. Ayed a élaboré une structure d’investissement innovante (le « Fonds Générationnel ») qui devait permettre au gouvernement, agissant en investisseur de référence, de propulser l’investissement privé dans le pays sans pour autant s’impliquer dans la gestion des projets financés, ni leur allouer des ressources budgétaires. M. Ayed a, par ailleurs, créé l’Académie des Finances qui était appelée à devenir un centre de formation de très haut niveau qui accueillerait aussi bien les cadres du Ministère des Finances que ceux des autres ministères et organismes publics.
Administrateur et directeur général de BMCE bank, Président du comité de la direction générale du groupe BMCE (Maroc)
Quand il a rejoint le Groupe BMCE au Maroc fin 1998, M. Ayed s’est trouvé confronté au défi épineux de transformer une banque publique, nouvellement privatisée, en une organisation efficiente, performante et moderne. À cet effet, il a créé BMCE Capital, la banque d’investissement du Groupe, dans le but d’en faire un centre de compétence porteur d’une nouvelle culture. Cette nouvelle entité a été intégrée intentionnellement au sein de la banque, mais a toutefois gardé son autonomie de gestion. Le succès rapide de BMCE Capital, agissant comme un puissant agent du changement, a eu un effet d’entrainement remarquable sur le reste du groupe, lui frayant la voie vers une transformation profonde et réussie.
BMCE Capital est rapidement devenue la première banque d’affaires et d’investissement au Maroc dotée d’une brillante équipe de jeunes professionnels et d’une salle de marchés performante et moderne, l’une des plus importantes en Afrique. Le succès remarquable de BMCE Capital a amené d’autres banques marocaines à suivre l’exemple de la BMCE , renforçant ainsi considérablement le système financier marocain dans son ensemble et en faisant un vrai modèle à l’échelle africaine.
En 2000 , M. Ayed a lancé CapitalInvest, une entité spécialisée dans le capital investissement et la gestion de fonds d’investissement. CapitalInvest est devenue leader dans les métiers de Private Equity aussi bien au Maroc que dans la région. Plusieurs fonds ont été lancés par ses soins y compris le premier fonds immobilier au Maroc, le premier fonds d’infrastructure, et le premier fonds touristique structuré conjointement avec d’autres établissements financiers.
En 2002, M. Ayed est nommé Administrateur directeur général de BMCE Bank et Président du Comité de Direction générale du Groupe BMCE. Il a, par ailleurs, présidé les conseils de plusieurs filiales du groupe au Maroc, en Europe et en Afrique.
Durant son mandat à la BMCE, M. Ayed a lancé plusieurs chantiers dans le but de restructurer et de moderniser les principaux départements de la banque. C’est ainsi qu’il a édifié une nouvelle plateforme moderne et performante en charge des grandes entreprises (Corporate Bank). Il a, par ailleurs, initié une refonte complète du département en charge de la gestion des risques, et a élaboré un nouveau manuel de gestion des risques de crédit et de marchés.
Convaincu de la nécessité de mener une politique de recouvrement plus dynamique des crédits non performants, il a créé une puissante division de gestion corrective des créances accrochées qui a rapidement et fortement contribué aux résultats de la banque. Il a aussi mis en place un programme de participation en actions en faveur de l’ensemble des employés de la banque. Ce programme d’intéressement, qui a connu un franc succès au Maroc, a significativement rehaussé la motivation des équipes et a nettement amélioré l’environnement du travail dans le groupe.
Le développement rapide du groupe BMCE a nécessité le renforcement continu de ses fonds propres.
A cet effet, M. Ayed a élaboré, en collaboration avec la SFI, un montage innovant d’une dette subordonnée perpétuelle de $50 millions en 2007 qui a permis de renforcer les fonds propres complémentaires de la banque (Upper Tier 2 Capital). Cette opération était une première aussi bien au Maroc qu’au Maghreb.
Persuadé que l’avenir du groupe réside en Afrique, M. Ayed a dès 2002 lancé les activités de BMCE Capital en Afrique de l’Ouest et en Afrique Centrale en créant des filiales au Sénégal et au Cameroun. En 2005, il prend le contrôle d’Axis Capital à Tunis, un acteur leader dans le marché des capitaux en Tunisie.
Il a par la suite formulé une stratégie africaine qui reposait sur deux principaux axes: une présence élargie dans le continent africain, et la création d’une nouvelle banque d’investissement basée à Londres appelée à focaliser ses activités exclusivement sur l’Afrique. Il a ainsi réussi à négocier l’acquisition majoritaire du capital du groupe Bank of Africa qui jouit d’un réseau important de filiales en Afrique de l’Ouest et en Afrique de l’Est. À Londres, il a obtenu en 2006 une licence bancaire du FSA pour la création de MediCapital Bank qui est devenue opérationnelle en 2007 (cette banque a été renommée BMCE International, Londres).
Au terme de sa mission à la BMCE, M. Ayed a laissé un groupe jouissant d’une taille bilantielle de plus de €15 milliards, le triple de celle de 2000; et d’une présence dans plus de 24 pays en Afrique. Le continent africain représentait en 2012 plus de 42% des résultats du groupe BMCE.
Ayed a assumé d’autres fonctions de responsabilité au sein de FinanceCom, la holding du groupe.
Il a servi, entre autres, en qualité de Vice Président du Conseil de Surveillance de RMA Watanya, la plus grande compagnie d’assurance au Maroc à l’époque; administrateur au Conseil d’Administration de Bank of Africa, et Président du Conseil d’Administration d’Axis Capital à Tunis.
CITIBANK
Durant les 18 années qu’il a passé à la Citibank (1980-1998) ,M. Ayed a occupé plusieurs fonctions de responsabilité en Afrique du Nord et au Moyen Orient, ainsi qu’à la division des marchés de capitaux de la Citibank Londres. Durant sa carrière à la Citibank, M. Ayed a formulé, et supervisé l’exécution, des stratégies de la Citibank dans les pays sous son autorité, et a contribué efficacement au développement des franchises dont il avait la responsabilité dans la région MENA.
Ayed intègre la Citibank en 1980 où il se voit confier, cinq ans plus tard, la direction générale de la filiale tunisienne, et la responsabilité des opérations de la banque en Tunisie, en Algérie et en Libye.
En 1986 il est promu Vice Président de Citibank/Citicorp.
A la Citibank Tunis, M. Ayed a établi une unité de trésorerie très performante. En particulier, il était le premier au Maghreb à avoir structuré et introduit au marché des contrats à terme synthétiques pour le Dinar tunisien et le Dirham marocain. Il a, par ailleurs, contribué en collaboration avec Citibank International Plc., à initier diverses levées de fonds sur l’Euromarché en faveur des entreprises, des banques commerciales et de la Banque Centrale de Tunisie. Il a, par ailleurs, réussi en 1987 à obtenir des autorités tunisiennes la première licence bancaire locale octroyée par le gouvernement Tunisien à une banque étrangère depuis l’indépendance.
En 1988 , la Citibank confie à M. Ayed la responsabilité de la banque des entreprises (Corporate Bank) aux Émirats arabes unis et à Oman. Il a réussi à insuffler un nouveau souffle à ces franchises qui souffraient de plusieurs années de gestion corrective de leurs portefeuilles de crédits non performants. Il a effectué un travail de pionnier en introduisant de nouveaux produits innovants de couverture des risques de change et de taux qui ont connu un grand succès auprès des entreprises émiraties.
En 1990, M. Ayed prend les commandes des activités de Citibank/Citicorp au Maroc en qualité de Country Corporate Officer et Administrateur délégué de Citibank Maghreb, la filiale locale de la Citibank. Malgré une conjoncture difficile et un héritage peu glorieux marqué par des pertes successives, M. Ayed a réussi à insuffler du sang neuf dans l’organisation et à rétablir sa performance.
En particulier, il a réussi à introduire en 1993 le plus grand groupe marocain (ONA) sur avec le premier prêt syndiqué réalisé par un émetteur marocain privé sans garantie étatique ou bancaire. Cette transaction, qui a fait date au pays, a rehaussé le profil de la Citibank au Maroc et lui a permis de renforcer significativement son positionnement sur le segment des entreprises et des institutions marocaines.
Fin 1995, M. Ayed rejoint la division des marchés de capitaux auprès de Citibank International Plc. à Londres en qualité de Senior Banker en charge des prêts syndiqués de la France et de la Grèce, et responsable du montage et de la coordination des prêts syndiqués relatifs aux industries de l’automobile et des télécommunications européennes. En vertu de son expérience à la région
MENA, il a aussi pris part dans le montage de certaines larges transactions émanant de la région MENA telles que l’émission sur l’Euromarché par Oman LNG d’un prêt syndiqué de 2 milliards d’US Dollars (1997). En Europe, M. Ayed a participé au montage de plusieurs prêts syndiqués, en particulier dans l’industrie naissante de la téléphonie mobile telle que ceux d’Orange (GB), Mobitel (Portugal), et Cosmote (Grèce).
Informations personnelles et stature professionnelle
- Ayed a été décoré de l’Ordre de la République tunisienne en novembre 2011.
En mai 2014, Citibank New York, représentée par son Président, lui a décerné la « Distinguished Alumni Award for Leadership and Ingenuity. »
En décembre 2013, il est nommé Président de MED Confédération, poste qu’il occupe à ce jour. Cette organisation a été lancée pour promouvoir le rapprochement institutionnel entre les deux rives de la Méditerranée.
Il est, par ailleurs, co-fondateur et Vice Président d’Euromed Capial Forum, l’association euroméditerranéenne des opérateurs en capital risque.
- Ayed est Président d’Honneur de Carthage Business Angels. Il est aussi Président d’honneur de l’association ‘Mosaïc’ qui a pour objectif d’aider les associations de la société civile tunisienne à lever des financements pour promouvoir leurs activités.
Il est membre du Conseil d’Administration du Centre Tunisien d’Études et de Recherches
Économiques et Sociales (CÉRÈS). Il est aussi membre et co-fondateur de la Chambre du Commerce Tuniso-Belge et de la Chambre du Commerce Tuniso-Koweitienne.
Mr. Ayed a servi en qualité d’Administrateur au Conseil d’Administration de PROPARCO, filale de l’Agence Française de Développement (2007-2008).
Il a présidé la Chambre Américaine du Commerce au Maroc (1992-1995), et au terme de son mandat il fut élu son Président d’Honneur. Il a aussi servi comme membre actif du Conseil Maroco-Américain (1994-1995).
Le long de sa carrière, M. Ayed a bénéficié de contacts professionnels permanents, ainsi que de relations d’affaires récurrentes, avec les plus grandes institutions financières internationales ainsi que les agences de développements telles que la Banque Mondiale, la SFI, la BAD, le FMO, ACTIS, KfW, l’AFD ainsi que plusieurs autres organisations.
Cursus et distinction académique
Ayed a obtenu en 1979 un Master en Économie de l’Université du Maryland, aux USA, où il a été élu Membre de la prestigieuse Phi Kappa Phi Honor Society pour la distinction académique. Son cursus universitaire comporte des cours suivis à l’Université du Colorado et à l’Université de Floride.
Sur le plan culturel :
- En janvier 2013, M. Ayed a publié un livre (Tunisie: La Route des Jasmins, Éditions La Différence, Paris).
- Ayed est un compositeur renommé de musique classique. Ses travaux incluent plusieurs compositions pianistiques, un concerto pour piano et orchestre (« Touches de Vie »), une symphonie pour piano et orchestre (« Mogador »), un concerto pour violon et orchestre (« Le Concerto des Jasmins »), et la symphonie « Hannibal Barca » qui a été présentée en première Tunisienne au Festival de Carthage et au Festival de Musique classique d’El-Djem en juillet 2009; ainsi qu’au Kennedy Center â Washington D.C. en janvier 2012 à l’occasion du premier anniversaire de la révolution Tunisienne.
- Il est membre agréé de la Société des Auteurs, Compositeurs et Éditeurs de musique en France (SACEM). Il est aussi membre du Directoire du Centre de Musiques arabes et Méditerranéen (espace culturel Ennejma Ezzahra qui loge le Musée du Baron d’Erlanger à Sidi Bousaïd, Tunisie). Ayed est un golfeur assidu et un fervent lecteur.
Il est marié et père de trois enfants. Il maîtrise parfaitement l’Arabe, le Français et l’Anglais.
Pour suivre Jaloul Ayed :
:• Site Web : www.afdb-jaloulayed2015.org
• FB : https://www.facebook.com/pages/Jalloul–‐Ayed/381941358529773?pnref=story.
Contact Presse : Mohamed Ali Aboudi : mohamedali.aboudi@gmail.com.