Tunisie (Politique) – À l’échéance des cent premiers jours du gouvernement Essid rien n’indique qu’il a pris la mesure des défis auxquels est confronté le pays.
Ceci consolide notre conviction à l’UPR (Union Populaire Républicaine) que ce gouvernement, balloté sans vision et sans politique claires court droit à son échec.
Pour l’UPR il n’est de salut qu’en adoptant une politique économique qui protège nos entreprises dans leur espace vital national face à une concurrence étrangère qu’ils ne sont pas encore en mesure d’affronter.
Ce n’est qu’en privilégiant l’intérêt national à l’encontre des exigences du FMI qu’une sortie de crise pourra être envisagée.
À défaut, l’UPR prévoit que le gouvernement continuera à courir derrière les foyers de tension pour les éteindre sans parvenir à rétablir ni la confiance ni l’espoir.